KuKull
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| => http://board.ogame.fr/index.php?page=Thread&threadID=992430 - Citation :
- Depuis l’affaire de la mallette, elle n’avait plus travaillé pour le grand patron. Elle avait craint un long moment, que le contenu de celle ci, ne signe son arrêt de mort. Après avoir passé plusieurs jours dans un gros club en cuir orienté face à la porte, une arme à la main, et abattu par erreur Mireille, une vieille voisine en pénurie de farine, elle avait fini par baisser sa garde, et reprendre sa petite vie.
« Allô, Mademoiselle ? »
Peut être un assassin qui téléphonait pour savoir si elle était chez elle.
« C’est… Mireille, sa voisine. »
« Mireille est morte il y a plus d’une semaine, vous l’avez tuée. »
Elle raccrocha brutalement. Deux minutes plus tard, le vieux club retrouva sa place, face à la porte, et unique sortie de cet appartement exiguë.
Toc…toc… toc…
BLAM ! BLAM !
Plus par nervosité que véritable réflexe, l’annulaire droit de la jeune femme avait pressé la détente du vieux fusil de chasse. Précipitamment, elle tendit la main vers la petite boîte de munition posée sur la table basse, mais la fit tomber par terre. La porte s’ouvrit.
« Non mais ça va pas la t… ! »
L’homme en imperméable noir qui venait de pénétrer dans l’appartement, n’eut pas le temps de finir sa phrase, glissant sur une épaisse flaque de sang appartenant à son collègue. L’arrière de sa tête heurta violemment le sol.
« Oh la vache… »
Émergeant à peine du brouillard qui l’entourait, l’homme avait dit là ses derniers mots, car la jeune femme venait de saisir le fusil par son canon, à deux mains, et rabattit la crosse de toutes ses forces sur la tête de l’inconnu. Le crâne éclata net, projetant ses divers composants aux alentours.
Encore toute retournée, la jeune femme fouilla rapidement les poches des deux hommes, après avoir tiré le premier dans son appartement, refermant la porte sur la moitié d’une sombre flaque de sang. Le coup de feu n’alerterait pas les voisins, ils étaient tous vieux et séniles. Quoiqu’il en soit, elle détestait se faire attaquer chez elle.
« Allô ! »
La même voix que tout à l’heure, mais moins douce, plus agressive. Il ne devait sûrement pas être content d’avoir perdu ses deux assassins, ah ah !
« Ouiiii ? »
« Vous êtes complètement malade ! Arrêtez de tirer sur n’importe qui n’importe quand ! »
« Bah… »
A la réflexion… elle avait fait les poches des deux hommes, et ils n’étaient pas armés.
« …ouais, ok, promis. »
« OK ?! Mais… ! Bon… j’ai du travail pour vous. »
« Chouette ! Vous êtes ?»
« Vous trouverez le dossier… Quoi ? Ici Pacha, ok ? Donc je disais, le dossier à l’endroit habituel, ça ira ? »
« Pas de problème Pacha. »
« Bon, et la prochaine fois qu’on essaye de vous joindre, essayez d’être un peu plus… »
« Réceptive ? »
« C’est ça. Bonne chance. »
Elle prit une douche, découvrant bien désagréablement un morceau de cervelle dans ses cheveux. Toute la boîte de shampoing y passa pour terrasser cette souillure.
Optant pour une tenue simple et légère, elle enfila une petite robe d’été rouge à poix blanc. Elle aurait bien aimer mettre ses nouveaux escarpins, mais son travail préconisait l’utilisation de robustes petites basket. Avec ça, d’épaisses et grandes lunettes de soleil noire. Un revolver, habilement dissimulé dans son sac à mains blanc, ferait l’affaire. C’était un 44 magnum, assez lourd et faisant beaucoup de bruit. Mais il était capable d’arracher un bras à bout portant, ce qui faisait de lui un redoutable allié.
Il lui faudrait un bon plan, et elle le savait. La cible avait la bougeotte, et avait paraît-il déjà été abattue plusieurs fois. Ce qui était d’ailleurs assez étonnant, mais le dossier ne mentait jamais.
« Je me demande si c’est une sorte de zombie ? »
Elle adorait les histoires de zombies. Pas que la chair en putréfaction soit sa tasse de thé, mais cette forme humaine contre laquelle on peut se montrer inhumain. Le mieux serait de tailler des zombies en pièce avec son 44. A cette idée, elle fourra la main dans son sac pour sentir le précieux métal froid sous ses doigts. Son regard parcourra les divers personnes peuplant la terrasse du café. Elle se sentait un peu psychopathe sur le moment, mais que après tout, les pensées n’étaient pas des actes. Son portable sonna.
« Allô ? »
« On l’a repéré pour vous, il est dans une vieille ferme à * BIP * »
« Qu’est ce qu’il fiche là-bas ? »
« A priori, il a lui aussi un dossier pour quelqu’un… dépêchez vous. »
Elle reluqua son modeste scooter. Pas question de le trimballer sur des routes boueuses ou pleins de petits graviers. Elle ferait du stop.
Un homme aux cheveux grisonnant, et l’air un peu louche, allait dans la même direction. Il conduisait un vieux break volvo. Une bagnole très laide, mais extrêmement solide, de quoi allier le pratique au désagréable.
Ils restèrent 12km sans échanger le moindre mot. Elle n’avait rien à dire, et craignait que la vieille odeur de tabac qui émanait du véhicule n’attaque la base de ses gencives. Ça ne semblait pas bien logique, mais dans le doute…
Lui jetait de nombreux coup d’œils sur sa passagère. Hésitant, il transpirait et semblait être dans son élément, avec cette même odeur de tabac froid qui lui collait à la peau. Finalement, il choisit de se lancer sur le sujet le plus usité dans ces circonstances.
« Il fait beau, non ? »
Il n’avait pas tord. Mais la jeune femme se demandait toujours par quel miracle cet homme empruntait la même route qu’elle, et surtout, allait au même endroit, un endroit fortement paumé dans un coin de campagne. Aussi, elle glissa sa main dans son sac, au contact du métal froid tant apprécié.
Au 36ème kilomètre, il arrêta la voiture.
« Voilà, vous êtes arrivée. Prenez le petit sentier sur la droite, après la mare. Vous longerez un bois sur 300 , 400 mètres, avant d’apercevoir votre ferme. »
« Merci, c’est bien aimable. »
« Mais de rien. »
Elle descendit, et il repartit comme il était arrivé, avec son vieux break volvo. Elle resta un long moment sur le côté de la route, un goût d’inachevé et de vieux tabac froid lui titillant les papilles. Alors à 200 mètres de la ferme, elle vit un homme courir à travers champ, apparemment furieux. Il se dirigeait vers une voiture, garée en bas du sentier. Elle n’avait pas de jumelles, et se maudit un peu injustement pour ça, mais mettrait sa main au feu que c’était son homme. Elle sortit son 44 magnum. A cette distance, elle n’avait aucune idée s’il était possible de lui arracher un bras, mais comme il se déplaçait parallèlement à elle, et qu’il n’était plus très loin de son véhicule, il n’y avait pas à hésiter.
BLAM !
Manqué…
BLAM !
La vitre arrière de la voiture éclata à l’impact.
BLAM !
Touché ! Il se tenait le bas du ventre. Plié en deux, il ne bougeait plus, elle pouvait l’ajuster comme il faut.
BLAM !
La balle l’atteignit au niveau du coude, sectionnant son avant bras. Comme quoi, c’était possible. Il hurla, marqua son étonnement quelques secondes, puis ramassa la partie manquante, qu’il emmena avec lui.
BLAM !
Manqué.
BLAM !
Encore touché ! Au dos, la cible s’écroule dans un petit bosquet, à hauteur du bois.
Tandis que la jeune demoiselle se rapproche, quelque chose bouge près du bosquet. Une forme se distingue, à quatre patte, elle ronge quelque chose – où quelqu’un – Après avoir écarté quelques branche, la jeune femme aperçoit un ours, l’épaule de sa cible dans la gueule, entrain de traîner son appétissante découverte vers un lieu moins exposé. Elle jette un rapide coup d’œil à son revolver, désormais déchargé. La lutte est inégale, elle le sait, pendant son temps libre elle était tombé sur un documentaire animalier, évoquant les ours brun. Ils sont plus rapide que la plupart des chevaux, ont des réflexes stupéfiants leur permettant d’attraper des souris, et peuvent briser la nuque d’un bison d’un coup de patte. En plus, les ours polaires peuvent sentir un phoque à 32 km de distance, bref…
Elle attendit un peu, ramassa le bras, que son propriétaire avait abandonné contre son grés, et pria pour qu’il ait laissé les clés sur le contact.
« Allô ? »
« C’est moi. Où en est le boulot ? »
« A priori… c’est bon. »
« A priori ? »
« Vous savez, il est mort tellement de fois ce type, on sait jamais. »
Les flottes suivantes se sont affrontées le : 29.06.2010 17:11:30
Attaquant Mérovingien (x:XXX:x)
Armes: 150% Bouclier: 140% Coque: 140%
Nombre:
Ch.léger 26.617
Ch.lourd 320
Croiseur 2.581
V.bataille 4.687
Sonde 1
Destr. 609
Traqueur 379
Défenseur Astur (x:XXX:x)
Armes: 140% Bouclier: 120% Coque: 140%
Détruit
Défenseur panpan KuKull (x:XXX:x)
Armes: 160% Bouclier: 150% Coque: 160%
Nombre:
Croiseur 30.000
Attaquant Mérovingien (x:XXX:x)
Détruit
Défenseur Astur (x:XXX:x)
Détruit
Défenseur panpan KuKull (x:XXX:x)
Nombre:
Croiseur 22.389
Le défenseur a remporté la bataille !
L'attaquant a perdu au total 554.096.000 unités.
Le défenseur a perdu au total 205.497.000 unités.
Un champ de débris contenant 163.330.800 unités de métal et 64.547.100 unités de cristal.
Rentabilité:
22.380.900
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Mil', elle est belle ta nouvelle alliance 
L'attaquant a recyclé dans les 100M de CDR, ce qui n'est pas si grave finalement puisqu'il pourra se re-[...]-re-refaire une flottille pour se re-[...]-re-refaire recycler.
Pourquoi les croiseurs me direz-vous? car Astur c'est rendu compte trop tard de l'attaque et seuls mes croiseurs pouvaient arriver avant la flotte de Méro.
Merci à Kat' pour le RP!
Grosses léchouilles aux LYS et merci à Astur.
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