Loky Strike
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 [LYS] Gurdil, KuKull, JoKeR, Al Bundy & [Hoplite] Vunds ~VS~ Feyd [.P.] CDR: 3.895M

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KuKull

KuKull


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[LYS] Gurdil, KuKull, JoKeR, Al Bundy & [Hoplite] Vunds ~VS~ Feyd [.P.] CDR: 3.895M Empty
MessageSujet: [LYS] Gurdil, KuKull, JoKeR, Al Bundy & [Hoplite] Vunds ~VS~ Feyd [.P.] CDR: 3.895M   [LYS] Gurdil, KuKull, JoKeR, Al Bundy & [Hoplite] Vunds ~VS~ Feyd [.P.] CDR: 3.895M Icon_minitimeSam 17 Juil - 21:54

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Citation :




Elle allait craquer. Depuis que son mari était rentré, il n’avait pas soufflé un mot. A l’heure du dîner, rien, toujours rien. Personne ne toucha au plat. Lui ne tenait pas en place, cherchant à capter le regard de son épouse pour la pousser à faire la conversation. Il avait la tête d’un homme qui en savait plus que tout le monde. Elle le regardait du coin de l’œil, d’un air toujours plus assassin que la fois précédente, lui signifiant qu’il n’était pas bon de jouer avec ses nerfs. Finalement, elle craqua.
- « D’accord ! Tu… ! » Elle respira un grand coup, puis reprit cette fois d’une voix fausse :
- « Tu as passé une bonne journée mon chéri ? »
C’était le signal qu’il attendait depuis qu’il avait franchi le seuil de l’appartement. Il explosa littéralement.
- « Tu ne vas jamais le croire mon petit sucre ! »
Elle détestait qu’il l’appelâtes son petite sucre.
- « Comme tu le sais, ma prestigieuse fonction de… »
Elle ne voulait pas savoir. Le voir si heureux l’irritait. Elle le détestait. Sèchement, celle qui occupait la fonction d’attachée à l’ambassade, le coupa.
- « Je t’ai trompé. C’était une soirée à l’ambassade, l’Empereur Feyd était là et j’ai pensé que ça pourrait te faire du mal. »
L’officier Jobby, habile capitaine de croiseur, mari qui se croyait heureux en ménage, porte-parole de l’état major, en resta bouche bée. Il se leva sans rien dire, pris son long manteau bleu marine, et sorti. Il avait prévu d’arriver un peu en retard au cercle des officiers, et finalement, il serait en avance.
- « Bah… j’imagine que l’on est quitte mon vieux ? »

. . .

La clochette tinta, et Gros Sam entra dans son bouge préféré. Mickey le barman lui fit un signe de tête discret. En réalité il ne devait pas s’appeler Mickey, tout comme Gros Sam ne s’appelait pas Gros Sam, mais Gros Sam trouvait aussi que Mickey était un bon nom pour un barman.
Gros Sam se dirigea vers son tabouret à peu près au centre du comptoir. C’était son tabouret non pas parce qu’il avait écrit son nom dessous à la craie (ce qui était le cas, mais les autres s’en fichaient), mais parce qu’il arrivait suffisamment tôt dans la soirée pour s’asseoir dessus le premier. Il traversa la pièce en bombant le torse (peu de gens remarquèrent ce détail, même gainé Gros Sam restait trop bas de poitrine pour qu’on le remarquât). Il souriait légèrement. Un observateur attentif aurait remarqué que Gros Sam tentait à grande peine de masquer son sourire et de conserver un air stoïque, mais il n’y parvenait pas et cela gâchait de beaucoup son effet. Tout en marchant vers son tabouret il jetait des regards à la ronde. Enfin, il s’assit.
Il commanda, comme d’habitude, une bière noire. Le secret de fabrication de ce breuvage lui était parfaitement inconnu, et mieux valait qu’il le soit. Mickey sortit de sous son comptoir une choppe, il regarda rapidement à l’intérieur, ramassa un chiffon pour y passer un bref coup, puis il la remplit et la tendit à Gros Sam qui ne faisait pas de manières pour un peu de poussière ou les restes d‘une blatte.
Tout le monde avait remarqué la tentative ratée d’entrée théâtrale. Toute minable qu’elle fut, elle fut suffisante pour intriguer la populace et tout le monde semblait dans l’attente que Gros Sam ouvre la bouche. Il le fit, et ce fut d’abord pour boire une longue lampée de sa bière favorite. Puis il le fit une seconde fois, pour roter. Enfin il pivota sur son siège et fit face à la foule.
Il n’y avait pas foule d’ailleurs, quelques vieux qui jouaient aux cartes, deux trois dépressifs, quelques alcooliques normaux dont Gros Sam faisait partie et voilà tout. Mais cette bande de vide-bouteilles étaient ses amis. Du moins c’est ainsi qu’il voyait les choses. Il laissa évacuer toute sa bonne humeur.
- Les gars, j’en ai une bien bonne !

. . .

Il n’était pas le premier sur les lieux. Son vieil ami, le major Okard, tentait de faire la conversation à une vieille femme, probablement celle d’un commandant. Lorsqu’il l’aperçu, il le rejoignit tout de suite.
- « Alors ? »
- « Alors quoi ? » répondit Jobby.
- « Fait pas l’innocent. Cette nouvelle, c’est quoi ? »
Jobby feignit de ne pas comprendre. Il adorait ce moment, où les petits secrets de l’état major n’appartenaient qu’à lui.
- « Cap sur le bar, major. »
Il avait soif, et ce n’était pas le genre de nouvelle à être divulguée sur le seuil d’un salon, le gosier sec. Le barman, rare civile présent, leur servit deux coupes de champagne, bien que Okard ait commandé du bourbon.
- « Ma femme me trompe. »
Le major Okard aurait pu avaler de travers, comme tout bon ami étonné de la nouvelle, mais il vida son verre d’un trait, tout en fixant son ami d’un regard interrogateur.
Après un long silence, Okard fini par tenter de réconforter son ami.
- « Noooooooooon ? » Du mieux qu’il le pouvait.
- « Mais le pire dans tout ça, c’est qu’elle a osé me dire avec qui. Je pourrais le tuer si… »
Okard blêmit et commanda un second verre de bourbon. Il eut à nouveau du champagne.
- « Enfin la situation est assez comique, je crois. »
Le major se demandait bien pourquoi la situation était comique, aussi ne trouvant pas de réponse, il prit un autre verre. D’ailleurs il ne précisa même plus ce qu’il voulait. Le salon se remplit peu à peu, apportant son lot de prestigieux invités, des généraux, des commandants, des amiraux, et l’Empereur lui même. Les épouses qui avaient accompagnées leur mari, étaient toutes affublées de robes plus resplendissantes les unes que les autres. L’Empereur vint murmurer quelques mots à l’oreille de Jobby, que Okard ne pût entendre. Mais ça en disait long sur l’influence de Jobby, ce qui obligea Okard à commander un verre supplémentaire. Il chercha alors la vieille peau en robe jaune qui l’avait abordé tout à l’heure, mais ne la vit pas. Par contre une fille pas trop mal également affublée d’une robe jaune lui faisait de l’œil. L’Empereur fit également un signe à Jobby, mais d’un tout autre registre. La salle était comble. Le capitaine Jobby monta sur la petite estrade, face au micro, et requit le silence.
- « Mesdames, messieurs, je vous remercie pour votre présence. Je ne m’attarderais pas en discours et paroles fastidieuses, car vous attendez tous la nouvelle que je m’apprête à annoncer. »
Tandis que la foule retenait son souffle, les rumeurs les plus improbables s’étaient propagées ces dernières heures. Okard lui, qui ne comptait plus ses verres, amorçait un périlleux solo de danse classique dans le fond de la salle.
- « Aujourd’hui, peu avant 8h, l’Empereur Feyd a été vaincu. »
Un incroyable silence enveloppa la salle. Presque toute la salle.
- « Mais on a baisé qu’une seule fois ! »
Okard allongé par terre, probablement à cause d’une mauvaise réception lors de son dernier saut, venait de soulager sa conscience, peu avant de soulager autre chose.

. . .

La foule n’était pas à proprement parler « pendue à ses lèvres », disons que l’histoire qu’allait raconter le Gros Sam était l’évènement de la journée. Si certains avaient su à l’avance l’information qu’il allait leur divulguer, ils se seraient même peignés pour l’occasion.
- Vous savez que j’bosse à la sécurité maintenant. Au palais, tout ça.
On sentait une pointe de fierté.
- C’est pas un boulot facile tous les jours…
En fait si, c’était un des boulots les plus simples, la sécurité n’étant jamais plus efficace que lorsqu’elle est gérée uniquement par des machines, les humains n’y sont employés qu’à titre de figurants pour soulager les associations de défense du travail manuel.
- … j’étais aux premières loges. Calez bien vot’ cul au fond du siège, les mecs. Ce matin, les gars, Feyd est tombé.
Il fit une pause de quelques secondes pour le style. Les plus vieux faillirent défaillir. L’un d’eux s’exclama « oh coquin de sort ! », un autre « c’est pas possible. Comment c’est possible ? C’est pas possible. » On entendit aussi un « putain de bordel à cul ». Les vieux avaient en tête l’image abstraite du dirigeant des .P.unisher, on le disait dictateur, on le disait sanguinaire, on le disait impitoyable… mais on l’avait encore jamais dit mort. Sur le visage des moins vieux se lisait une certaine consternation, que neuf centaines d‘étoiles de la mort aient pu être détruites semblait impossible. Cette flotte s‘était faite discrète ces dernières années, on accusait l‘âge du dictateur, néanmoins aucun adulte qui se respecte ne devait faire la bêtise de sous-estimer sa force de frappe. Chez d’autres personnes, c‘était le doute qui primait, car Gros Sam n’était pas un colporteur de rumeurs, mais comme tout boit-sans-soif qui se respecte il aimait que des regards intéressés se tournent vers lui. Quant aux jeunes, l’un d’eux, qui commençait à peine à découvrir les joies de l’alcoolisme, s’étonna « c’est qui Feyd ? ».

. . .

La première nouvelle avait été suffisamment retentissante pour permettre aux personnes présentes d’éluder la seconde. Okard se fit malgré tout raccompagner dehors par le service de sécurité de l’Empereur. Jobby lui, toujours debout sur l’estrade, la bouche grande ouverte, le regard dans le vide, ne savait plus quoi dire. L’Empereur lui faisait des signes désespérés pour qu’il continue, et finit par lui lancer un bouchon de champagne en pleine tête.
- « Pardon… euh… oui. C’est… donc… pour…. Euh… »
Okard ! Quel salaud ! Des années qu’ils se connaissaient, il lui avait même sauvé la vie une fois !
- « Je disais donc… tôt ce matin… »
D’ailleurs, quand l’avait-il fait ? Okard l’accompagnait presque partout ou il allait. Mais bien sûr ! Il avait été chargé de la sécurité de l’ambassade il y a deux mois, lors d’une visite sur… sur… aucune importance.
- « Une coalition de vaisseaux Lys…. Ont… »
Et lui ! Lui aussi !
- « Ont anéanti, bousillé, annihilé, massacré, et proprement dispersé… »
Ce n’était pas très protocolaire, mais certaines personnes dans le public, assez hostiles envers le dictateur applaudirent. L’Empereur lui, cherchait des bouchons de champagne.
- « L’invincible armada de l’Empereur… »
Il demanda un verre de scotch, il en avait besoin. Le barman lui apporta un verre de champagne, qu’il but cul sec.
- « Feyd. »
La foule explosa unanimement cette fois dans un tonnerre d’applaudissements. Personne ne savait quoi faire d’autre. Beaucoup se regardaient, un peu sonnés, ne réalisant pas tout à fait. C’était incroyable, à n’en pas douter, mais pas un n’y croyait vraiment. Jobby lui, s’éternisa au bar jusque tard dans la nuit, aux côtés d’une vieille femme en robe jaune, accumulant tous deux un nombre impressionnant de bouteilles de champagne, sans jamais s’adresser la parole.

. . .

- Moi, c’est-ce que j’ai dit à mes collègues, j’dis que ça devait bien arriver tôt ou tard, ajouta Gros Sam, de l’air de celui que rien n’étonne. Qui sème le vent récolte la tempête.
Gros Sam pensait que lâcher des proverbes était un signe de culture. Quand bien même ceux-ci n’avaient aucun rapport avec la situation.
- Tu mens, gros lard, rétorqua un vieux. Feyd c’était une institution, si l’univers était un bistrot il serait un pilier !
- Qui c’est qui l’ont buté ? Demanda un autre.
- Vunds, l‘Empereur, espèce de vieux débris. Allié à tous les LYS.
Il était connu à travers l’univers, même dans le petit bouge crasseux du coin de la rue, que les flottes taguées du lys étaient les plus redoutables de l’univers. Non pas qu’elles soient les plus grosses, mais parce qu’elles étaient les plus audacieuses.
- Il paraitrait, expliqua Gros Sam, que le père Vunds et le Joker ont traqué le dictateur depuis au moins huit mois, eux-mêmes, sans jamais le quitter des yeux et sans dormir.
- C’est pas possib’ ça. Paraît que quand tu dors pas de dix jours, tu meurs.
- J’ai dit « il paraitrait », c’est pas une info de source sûre hein, j’dirais, 80% de sûreté.
Gros Sam pensait que s’appuyer sur des pourcentages était plus convainquant et lui donnait un air intelligent.
- Il paraitrait aussi que le combat était tellement gigantesque qu’il a fallu déployer au moins deux millions et demi de vaisseaux recycleurs.
- Ca existe une flotte pareille ? J’aimerais bien voir ça.
- Tu pourrais pas, tu serais tellement épaté que tes yeux i z’éclateraient dans tes orbites.
Une voix au fond du bar fit une remarque que personne ne releva : « paraît que si t’éternues les yeux ouverts, tes yeux i sortent de ta tête… ».
- Les mecs, vous assistez à l’évènement d’un nouvel ordre universel, ajouta Gros Sam en guise de conclusion.
C’était « avènement », mais comme il ne connaissait pas ce mot il s’était dit que « évènement » ferait sûrement l’affaire. Mais pour l’assistance encore troublée, point de conclusion. Il était connu que le Dictateur Feyd possédait la plus grande puissance de feu de l’univers, et il était inconcevable qu’il périsse. Bien sûr, aucun d’eux n’avaient vraiment réfléchi au terme « dictateur », ils étaient convenu qu’il s’agissait d’un régime politique comme un autre. Ou alors d’un titre honorifique dont il se dotait et qui exprimait toute la grandeur et la solidité de l’empire. A une époque de leur vie, ces vieux avaient tous entendu une histoire de croque-mitaine à propos de Feyd, mais aujourd’hui le mythe faisait autant rire les jeunes que le croque-mitaine. Ils surent alors que plus tard, on raconterait aux enfants des histoires pour leur faire peur à propos des empereurs fous qui avaient délogé le croque-mitaine…




L’heure de gloire de Gros Sam était passée, il quitta son bouge aux environs de 3 heures du matin. Il prit la route de sa chambre sans marcher sur le trottoir, convaincu qu’il avait moins de risques de percuter quelqu’un si il restait sur la route. Il avait les mains enfoncées dans ses poches, la casquette vissée sur la tête et marchait le front buté contre sa poitrine, le monde tanguait moins comme ça. Un bruit lui fit relever la tête, celui de bottines qui marchaient d’un pas élancé mais de manière irrégulière, laissant comprendre à Gros Sam que l’individu dans les bottines n’était pas en meilleur état que lui, et il s’y entendait dans ce domaine. La visière de sa casquette gênant, il leva le nez bien haut pour essayer de toiser l’individu. Ce dernier lui passa à coté, enroulé dans son long duffle-coat bleu marine sans doute très cher. L’officier Jobby lui jeta un regard bref. Un homme petit, rond, qui marche à coté du trottoir et qui porte une casquette en pleine nuit ne peut pas être un individu fréquentable. Jobby ne s’arrêta pas. Tout éméché qu’il fut, il n’aimait pas le contact avec ces gens-là.
Dans leur tête, la Chute du Dictateur Feyd serait désormais un souvenir à la connotation toute particulière…






Les flottes suivantes se sont affrontées le : 25.06.2010 07:56:27

Attaquant Gurdil (x:XXX:x)
Armes: 160% Bouclier: 160% Coque: 160%
Ch.léger 94.500
Ch.lourd 1.000
Croiseur 20.000
V.bataille 20.000
Destr. 4.040
Traqueur 5.600


Attaquant panpan KuKull (x:XXX:x)
Armes: 160% Bouclier: 150% Coque: 160%
Ch.léger 240.236
Ch.lourd 22.091
Croiseur 40.150
V.bataille 50.026
Destr. 18.436
Traqueur 18.247


Attaquant BaD JoKe (x:XXX:x)
Armes: 160% Bouclier: 160% Coque: 170%
Ch.léger 100.000
Croiseur 20.000
V.bataille 10.000
Destr. 1.000
Traqueur 5.000


Attaquant Kira (x:XXX:x)
Armes: 180% Bouclier: 160% Coque: 170%
Ch.léger 200.000
Croiseur 36.000
V.bataille 27.500
Destr. 22.000
Traqueur 20.000


Attaquant Vega (x:XXX:x)
Armes: 160% Bouclier: 170% Coque: 170%
Ch.léger 100.000
Ch.lourd 10.000
Croiseur 30.000
V.bataille 11.896
Destr. 3.923
Traqueur 10.000


Défenseur Feyd (x:XXX:x)
Armes: 180% Bouclier: 190% Coque: 180%
P.transp. 1.075
G.transp. 1.252
Ch.léger 200.495
Ch.lourd 11.039
Croiseur 1.007
V.bataille 1.027
V.colo 14
Recycleur 10.034
Sonde 3.037
Bombardier 100
Destr. 100
Rip 937
Traqueur 102
Missile 5.000
P.bouclier 1




Attaquant Gurdil (x:XXX:x)
Ch.léger 80.648
Ch.lourd 835
Croiseur 17.197
V.bataille 17.253
Destr. 3.487
Traqueur 4.821


Attaquant panpan KuKull (x:XXX:x)
Ch.léger 205.198
Ch.lourd 18.864
Croiseur 34.516
V.bataille 42.985
Destr. 15.878
Traqueur 15.685


Attaquant BaD JoKe (x:XXX:x)
Ch.léger 85.536
Croiseur 17.278
V.bataille 8.628
Destr. 853
Traqueur 4.365


Attaquant Kira (x:XXX:x)
Ch.léger 170.809
Croiseur 30.860
V.bataille 23.754
Destr. 18.950
Traqueur 17.230


Attaquant Vega (x:XXX:x)
Ch.léger 85.464
Ch.lourd 8.609
Croiseur 25.776
V.bataille 10.282
Destr. 3.397
Traqueur 8.617


Défenseur Feyd (x:XXX:x)
Détruit


L'attaquant a remporté la bataille ! Il emporte
28.691.807 unités de métal, 336.298 unités de cristal et 3.063.463 unités de deutérium

L'attaquant a perdu au total 3.630.245.000 unités.
Le défenseur a perdu au total 10.610.16.000 unités.
Un champ de débris contenant 2.310.296.100 unités de métal et 1.585.320.600 unités de cristal.
Le champ de débris est formé à 3.41 % par la flotte de l'attaquant, à 96.59 % par la flotte du défenseur
La probabilité de création d'une lune est de 20 %.


Rentabilité:
265.371.000





Déroulement du HoF:

-Flotte repéré vendredi matin, il y a 3 semaines. S'en suit alors une surveillance H24, pendant une semaine entière sur l'activité de Feyd. Le problème de l'opération était qu'on ne pouvait pas sonder Feyd pour confirmer nos suppositions. Il se pouvait selon certains joueurs, que Feyd puisse voler pendant plusieurs jours, semaines?, si il sentait qu'il y avait danger. Une surveillance qu'à l'étoile donc.
-Pour mobiliser toutes les flottes et cyclos, on décide de frapper dans la nuit de jeudi à vendredi, dans une semaine.
-3 premiers jours: il vole sur son cdr à 10H, mais ne se reco' que 5-6h après le retour de sa flotte. A ce moment là, on se dit que c'est dans la poche et qu'on va l'avoir.
-3 jours après, l'acti ne correspond plus à la déco'/retour, il ne vole plus sur son cdr à 10%. Là gros moment de panique, on redoute le vol à longue durée. Mais là surveillance continue.
-Le jour J. Suite aux nombreuses observations et à un raisonnement assez tordu , on en conclue qu'il laisse à quai: quand il a été flahsé le vendredi matin, il a goshté la nuit pendant 2-3 jours, pour montrer une certaine présence (même si il était pas là au retour de sa flotte). Puis une fois qu'il a jugé être en sécurité (car pas de scann'), il laisse à quai. Ce qui fut le cas ce soir là...
-Pour info, gros moment de pression avec une étoile 6 min avant impact. Dur jusqu'au bout ;(
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